J'ai à nouveau craqué pour un challenge : Celui du tour du monde en 8 ans ;-) Tout cela c'est la faute à mon stylo qui m'a parlé de tour du monde ici
Les inscriptions se font chez Helran ici
But : Lire au moins 1 auteur de chaque pays. Ce challenge est rétroactif, donc les lectures précédentes comptent. Il faut que je fasse la liste ;-)
Inscription : En faisant un article de présentation du challenge avec le lien vers cet article sur votre blog et prévenir en commentaire au même endroit.
Voici les 5 grades du challenge :
30 pays : Touriste
70 pays : Routard
100 pays : Voyageur
193 pays : Globe-trotter
206 pays : Bourlingueur intrépide
Je profite de ce petit billet pour présenter un peu mes deux prochaines lectures communes
Le 31 mars avec Eeguab sur le titre "le Miracle de San Gennaro" de Sandor Marai
Présentation de l'éditeur : Situé en 1949 à Naples, où Márai passa quelques années avant d'émigrer aux Etats-Unis, oe roman, largement autobiographique, brosse un tableau plein de vie et d'humour du petit peuple du Pausilippe. Comme égarées dans ce quartier haut en couleur, deux ombres : un couple d'étrangers discrets, jamais nommés autrement que " l'homme " et " la, femme ". Viennent-ils d'Amérique, d'Angleterre, de Pologne, nul ne sait. Un jour, l'étranger est retrouvé mort au pied d'une falaise. A travers l'enquête du vice-questeur et les récits de ceux qui côtoyaient le disparu (sa femme, un franciscain, un agent de police), se dégage un portrait complexe et paradoxal de ce réfugié au statut. instable et fragile, qui jouait, sans le vouloir, le rôle d'un messie dans cette ville où. chaque année, le sang de San Gennaro (saint Janvier) se liquéfie miraculeusement. Récit de l'exil et du déracinement, ce roman désenchanté confirme l'immense et douloureux talent de l'auteur des Braises.
Le 4 avril avec Noctembule et le titre "Le chevalier inexistant" d'Italo Calvino (j'avais adoré le Baron perché" et beaucoup aimé "Le vicomte pourfendu"
Présentation de l'éditeur : Venu passer ses troupes en revue, Charlemagne découvre que sous l'armure de l'exemplaire paladin Agilulfe il n'y a personne... Agilulfe n'existe pas. Ce qui ne l'empêche pas de combattre ni de commander à son écuyer Gourdoulou - lequel existe bien, mais ne le sait pas. Derrière son ironie burlesque, Italo Calvino nous livre une profonde réflexion sur la guerre et le sens de l'histoire, et nous confie, en filigrane, ses pensées sur l'écriture.